L'aube la plus précoce de la Dance parmi nos semblables que nous puissions documenter remonte à plus de 10 000 ans. Bien que le manque d'écrits à cette époque préhistorique nous plonge dans certains vides de connaissances, grâce aux manifestations picturales trouvées, par exemple, dans les Grottes d'Altamira ou la Grotte du Gabillou, nous avons des preuves de l'existence de danses à des fins rituelles.

Au fil du temps, nous trouvons une claire splendeur de la Danse dans des civilisations telles que l'Égypte, la grecque et romaine. Dans ces cas, comme documentation, nous disposons déjà de pièces artistiques élaborées telles que des bas-reliefs ou des mosaïques et même des textes qui approfondissent le but de ces Danses.

Dans l'Égypte ancienne, nous pouvons voir comment de simples danses utilisées pour exalter la réincarnation du dieu Osiris parviennent à évoluer, poussées par les pharaons, au point de ne pouvoir être exécutées que par des danseurs hautement qualifiés.

À Rome, la danse en est venue à couvrir les célébrations, les festivals et, aussi, les processions romaines. Bien qu'en 150 av. J.-C., la noblesse romaine ait dénidé la danse la qualifiant de suspecte et dangereuse. Cela a conduit à la fermeture des écoles de danse. Bien que grâce à l'empereur Auguste, la danse soit restée latente avec l'émergence de la pantomime ou mime, une danse dans laquelle la communication s'établit à travers des gestes et des mouvements.